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L’évolution constante du marché pousse nos enseignes favorites à s’ajuster aux nouveautés. Les offres à bas prix et la qualité des produits ne sont plus les uniques attraits pour se démarquer. Désormais, Lidl, à l’instar de ses concurrents, opte pour une approche de vente profondément modernisée.
Les grandes surfaces innovent
Carrefour introduit le concept de Carrefour Flash, visant des achats sans interaction physique, une vision partagée par Lidl. Grâce à la technologie AiFi, les visiteurs de Carrefour peuvent s’identifier à l’entrée via leur smartphone ou carte de crédit.
Il n’est pas nécessaire de scanner les articles ou d’utiliser une application spécifique. Il suffit de sélectionner les produits désirés et de quitter le lieu. La transaction est traitée automatiquement, et la facture est envoyée directement sur le téléphone du client.
Monoprix, de son côté, propose d’éliminer l’étape du passage en caisse avec Monop’Easy. Cependant, le client doit scanner ses achats à l’aide de son téléphone et procéder au paiement via l’application de l’enseigne.
Casino introduit également un paiement sans contact, Casino Max Extra, utilisant la reconnaissance faciale. Les clients peuvent enregistrer leur visage dans l’application Casino Max pour faciliter leurs achats. Lidl, quant à lui, s’aligne sur cette tendance d’innovation.
Nouvelle technologie d’achat chez Lidl
Confronté à la concurrence et aux exigences croissantes des consommateurs, Lidl choisit de ne pas rester en marge. La marque, établie en Belgique depuis 1995, envisage de renouveler son système de vente en intégrant une technologie de scanning avancée dans plusieurs de ses boutiques locales.
Cette technique offrira la possibilité aux acheteurs de scanner leurs produits et de régler leurs achats sans nécessité de passage en caisse, visant à diminuer l’attente, simplifier les transactions et enrichir l’expérience d’achat.
La représentante de la marque mentionne que l’utilisation d’un smartphone « est judicieuse car cet outil multifonction est désormais indispensable pour tous ». Elle précise toutefois que l’adoption définitive de cette méthode n’est pas encore arrêtée.
