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L’Allocation de Solidarité Spécifique (ASS), destinée aux individus nés en 1954 ou 1955 et arrivés en fin de droits à l’assurance chômage, a pris fin en janvier 2018. Ce programme avait pour but d’aider ceux qui n’étaient pas encore admissibles à la retraite.
Pour bénéficier de l’ASS, il fallait remplir certaines conditions : être né en 1954 ou 1955, avoir accumulé 166 trimestres de cotisations retraite, être inscrit comme demandeur d’emploi, et avoir perçu des allocations spécifiques entre 2011 et 2014.
La cessation de l’ASS a obligé ses bénéficiaires à chercher d’autres sources de revenus. Des initiatives telles qu’une prime exceptionnelle de 300€ pour les seniors ont été mises en place pour faciliter cette transition.
Alternatives pour les exclus de l’ASS
Les individus ne pouvant plus prétendre à l’ASS peuvent envisager plusieurs options : la réinsertion professionnelle à travers des programmes dédiés, la demande d’aides sociales comme le RSA ou l’ASS, ou encore le recours à des associations d’accompagnement.
La prime senior, d’un montant de 300€, est proposée aux chômeurs de plus de 60 ans non éligibles à l’ASS. L’éligibilité à cette prime peut être vérifiée auprès de Pôle Emploi ou de votre gestionnaire de dossier.
Calcul de la Prime Senior Post-ASS
Cette prime, versée mensuellement, est destinée aux chômeurs répondant à des critères précis. Pôle Emploi et d’autres organismes peuvent vous guider dans le processus de demande.
Il est crucial de réagir rapidement à la fin de l’ASS. Les seniors peuvent solliciter de l’aide pour la recherche d’emploi et la planification de leur retraite. Il est important de contacter les organismes compétents et de s’informer sur la prime senior.
La fin de l’ASS requiert une adaptation active de la part des seniors concernés. Il est essentiel de se renseigner sur les options disponibles, notamment la réinsertion professionnelle, les différentes aides sociales, et la prime senior, afin de préserver un niveau de vie convenable.
