La CAF contribue significativement au bien-être de nombreuses familles en situation précaire en France. En raison de cela, une augmentation de 4,9 % a été appliquée sur diverses allocations en avril de cette année.
Cette mesure est une aubaine pour des millions de Français dépendant de telles aides. La montée incessante de l’inflation rend cette augmentation encore plus cruciale, visant des allocations non ajustées en 2023, telles que les allocations familiales, le RSA, l’AAH, et l’AEEH. Les primes d’activité et de déménagement sont également concernées.
Cette initiative vise à fournir aux ménages à faible revenu un supplément financier pour leurs dépenses journalières. Cette augmentation a été effectuée à partir du 1er avril, avec des modifications apportées aux critères d’éligibilité, incluant une augmentation de 5,3 % des plafonds de ressources, permettant ainsi aux bénéficiaires de recevoir une aide adaptée à leurs besoins réels.
Des allocations revalorisées dès avril
Depuis avril, les Allocations Familiales ont vu leurs montants augmenter de 4,6 %. Cette hausse affecte les bénéficiaires du RSA, de la prime d’activité et des allocations familiales. Voici les nouveaux montants après revalorisation :
- Pour une personne seule : 635 euros, auparavant 607 euros.
- Pour un parent isolé : 953 euros.
- Pour un couple avec un enfant : 1144 euros.
Notez que le RSA est accordé sous conditions de ressources et de situation familiale. Les bénéficiaires de l’Allocation aux Adultes Handicapés (AAH) verront leur allocation passer de 971 euros à 1016 euros. Pour les familles avec trois enfants et des revenus annuels inférieurs à 74 900 euros, l’allocation familiale maximale sera de 388 euros par mois.
Cette réévaluation est une excellente nouvelle pour les bénéficiaires et concerne des prestations essentielles pour de nombreuses familles, comme l’AAH, la prime d’activité, la prime à la naissance, et le complément familial.